LES ALIMENTS VIVANTS
Claude Lagarde Docteur en pharmacie et biologiste précise :
« (...) Il existe deux types d’états énergétiques dans la plupart des minéraux : l’état de basse et de haute énergie. La consommation de végétaux frais encore vivants permettrait justement d’apporter à l’organisme des oligo-éléments possédant une haute énergie. En effet la lumière permet d’activer ces éléments et donc de leur conférer un état activé.
De plus la dynamisation génère des oligo-éléments présentant des électrons en état de haute énergie, ce qui facilité le transfert énergétique initiant la réaction enzymatique. Ainsi, une infusion dynamise sans doute les oligoéléments contenus dans les plantes puisque le choc thermique provoque des modifications électroniques
Pour posséder une activité catalytique maximale, un oligo-élément doit être présent sous forme hautement énergétique ou High Energy. Cet état activé de l’élément minéral caractérise un oligo-élément catalyseur dont les électrons disponible et nécessaire à la réaction enzymatique se situent sur la couche 3d, la plus éloignée de leur noyau. »
Ce scientifique précise encore :
« Divers chercheurs de renom (dont plusieurs prix Nobel) affirment depuis longtemps l’existence d’une information vibratoire prépondérante (eau, soleil, minéraux...) influant la cellule et ses échanges de façon encore mal appréhendée. Il est fondamental pour un scientifique d’accepter l’idée que demeure en 2017..., tout un univers de paradigme dont nous ne connaissons rien et ce malgré de nombreux acquis scientifiques ! »
Notre santé et notre vitalité ne peuvent être assurées que par des aliments dont les molécules n’ont pas été altérées ou le moins possible par des procédés quels qu’ils soient. Plus on dénature un aliment par différents procédés (cuisson par la chaleur ou par d’autres procédés comme les micro-ondes, ajout de molécules de synthèse, raffinage par extraction de certaines parties de l’aliment etc.), plus on altère son intégrité de départ.
Un aliment peut avoir une densité nutritionnelle importante c’est-à-dire être riche en nutriments divers tels que des vitamines, minéraux, oligo-éléments et en parallèle s’il a subi une cuisson à température très élevé pendant un certain temps, peut ne plus être intéressant sur le plan nutritif voir même toxique.
Même si la notion de densité nutritionnelle est importante, on voit bien qu’elle est insuffisante si l’on ne tient pas compte de la notion de qualité des nutriments qui la compose.
La cuisson contribue à « faciliter » les processus de dégradation biochimique et donc de digestion de certains aliments. Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir « crudivores », c’est-
Il est favorable de consommer quotidiennement un minimum de 60 % d’aliments crus contre 40 % d’aliments cuits. C’est une démarche très favorable pour maintenir un bon niveau de santé. Les fruits et légumes pourront être consommés sous forme entière « à la croque » et sous forme de jus fraîchement extrait.
Le fait de consommer des jus de légumes permet plus facilement d’atteindre le taux de 60 % d’aliments crus de manière relativement aisée. En effet il faut une grande quantité de légumes pour réaliser un verre de 20 à 25 cl de jus. Ces jus, même s’ils ne contiennent pas la totalité des nutriments qu’apportent les légumes entiers (certains nutriments vont rester « prisonniers » des fibres), ils en concentrent une quantité relativement importante surtout avec un extracteur à double vis. Il faut à peu près un kilo de carottes pour réaliser un verre de 25 cl de son jus.
Les aliments peuvent être appréhendés en fonction de leur densité nutritionnelle et de leur vitalité. Nous retiendrons ici 4 grandes classes.
- Aliments « hyper vitaux ».
Ce sont ceux qui concentrent une très forte quantité de nutriments dont la biodisponibilité est très aisée tels que : les graines suffisamment germées pour provoquer la transformation de molécules complexes en molécules simples, les graines germées en pousses, les jus d’herbe (orge ou blé, par exemple).
- Aliments « vitaux ».
Ce sont principalement les fruits et légumes de saison, de la région, d’origine biologique, n’ayant subi aucune altération quelle qu’elle soit, depuis leur production jusqu’à leur consommation.
- Aliments « sous vitaux ».
Ce sont tous les aliments dont la densité nutritionnelle ou la vitalité ont été altérées à un moment donné, peu importe la raison ou le procédé.
- Aliments « nuisibles ».
Ce sont les aliments « enrichis » d’additifs chimiques de synthèse ou dont le mode de production, de transformation, de cuisson sont nuisibles : production intensive avec produits phytosanitaires de synthèse (pesticides, herbicides, etc.), OGM, aliments incluant des nanoparticules, ionisation des aliments, micro-ondes, cuisson UHT, cuisson excessive, friture, etc.
L’alimentation doit donc être vivante et saine. Pour minimiser l’exposition de l’Homme aux différents produits phytosanitaires, connus pour leur effet fortement délétère pour la santé humaine, il est impératif aujourd’hui, autant que possible, de consommer des aliments d’origine biologique. Cela concerne particulièrement la consommation de fruits et légumes frais. De plus, cette alimentation doit être exempte de tout procédé pouvant nuire à la santé des consommateurs, comme les OGM par exemple.