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Ecofiltro : Une solution écologique pour une eau pure chez soi

Ecofiltro : Une solution écologique pour une eau pure chez soi

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Cela fait plus de 25 ans que je filtre l'eau à la maison, j'ai essayé de très nombreux filtres à eau, certains onéreux, d'autres vendus à des prix abordables.

Je n'ai jamais bu en routine l'eau du robinet et je n'ai jamais acheté de packs de bouteilles. Comme pour la production de différentes préparations crues "fait maison", il est évident pour moi que filtrer son eau juste avant de la boire est LE moyen d'avoir une eau la plus pure et la plus vivante possible.


L'accès à une eau potable de qualité est un défi majeur de notre époque, où près de 2 milliards de personnes vivent sans eau sécurisée chez elles (WHO, 2020). Cette situation soulève des préoccupations non seulement sur la santé publique, mais aussi sur l'environnement et l'équité sociale à l'échelle mondiale. La pollution par une kyrielle de produits chimiques pose en effet question...

Après avoir essayé pendant des années de très nombreux systèmes, parmi les alternatives innovantes que nous avons découvert lors de deux séjours au Costa Rica, l'Ecofiltro se distingue comme une solution écologique low tech qui répond à ces enjeux, et qui répond aussi à nos préoccupations sociales, car cette société a une véritable implication sociale dans son pays de fabrication, le Guatemala. Ce dispositif de filtration utilise du charbon actif et de l'argent colloïdal pour purifier l'eau, offrant ainsi une méthode efficace pour rendre l'eau potable (c'est comme cela que le filtre est utilisé au Costa Rica) et améliorer la qualité de l'eau domestique.

Quel est le rôle de l'eau dans notre organisme ?

Notre corps est constitué d’environ 60% d’eau (plus ou moins en fonction de l’âge et de la charge musculaire et graisseuse). Toutes nos cellules baignent dans un milieu chargé en eau (appelé liquide extracellulaire), et leur intérieur est lui-même composé d’eau (appelé liquide intracellulaire). Il est donc indispensable de boire une eau de qualité et en quantité suffisante pour le bon fonctionnement de notre organisme. En effet, la déshydratation cellulaire et tissulaire contribue à l’encrassement et à l’acidification de l’organisme, terrain propice à l’inflammation et au développement des maladies. L’eau est en effet essentielle aux émonctoires1 principaux que sont les intestins et les reins dans leur processus d’élimination.

l'eau dans le corps

Quid de l’eau dite "potable" ?

La potabilité d’une eau est aujourd’hui basée sur plusieurs critères que sont les paramètres physico-chimiques (pH, température, composition ionique, présence d’éléments indésirables comme les pesticides, etc.), organoleptiques (goût, odeur, couleur) et microbiologique (agents pathogènes divers). Une eau potable est définie comme « une eau que l’on peut boire ou utiliser à des fins domestiques et industrielles sans risque pour la santé ». Cela ne signifie pas pour autant qu’une eau sans risque pour la santé est bonne pour la santé. Cette définition devrait introduire le concept du "primum non nocere", c’est-à-dire de ne pas nuire à la santé, concept cher à Hippocrate, père de la médecine naturelle, non-intrusive. Ainsi les critères de potabilité précédemment énoncés ne tiennent pas compte des micropolluants, des synergies entre certains polluants qui produisent des "effets cocktails" (chlore, nitrates, pesticides, etc.), de la bioaccumulation dans l’organisme de substances présentent à faibles doses dans l’eau comme les perturbateurs endocriniens, sans parler des nanoplastiques et microplastiques, le prochain scandale sanitaire.

Il est donc recommandé d’éviter de boire directement l’eau du robinet sans aucune amélioration même si elle est potable d'un point de vue physique et chimique (on ne tombera pas malade par contamination bactérienne ou empoisonnement). En effet, les conduites d'eau potable ne donnent pas vraiment envie de consommer l'eau qui en provient. Il faut donc privilégier la consommation d’une eau de qualité, "biocompatible".


Conduite d'eau encrassée

  • pure (sans bactérie),
  • pH légèrement acide (entre 6 et 7),
  • non oxydée ni oxydante (rH23 inférieur à 28),
  • minéralisée mais pas trop. Ce point est important, car l'eau distilée ou osmosée ne contient plus du tout de minéraux et on se retrouve avec une eau 

Le chlore, très utilisée pour détruire les bactéries dans l’eau du robinet, est un oxydant très puissant (rH2 proche de 42). Rappelons ici que l’être humain est d’avantage un être bactérien que cellulaire … cela pose question donc de consommer de l’eau chlorée ! Par ailleurs, le chlore peut se combiner à d’autres composés présents dans l’eau et créer des sous-produits comme la chloramine et des trihalométhanes, dont certains sont classés « cancérogènes possibles » (groupe 2B) par le International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Plusieurs études suggèrent en effet un lien entre certains trihalométhanes et divers cancers, dont le cancer du côlon4, et du pancréas5.

Quels sont les inconvénients de l'eau osmosée et de l'eau distillée ?

J'ai consommé dans les années 1990 de l'eau osmosée (c'était un des seuls système existant à l'époque) pendant plusieurs années avant de m'en détourner pour revenir à des systèmes plus naturels. Mon opinion personnelle est que l'eau osmosée ou l'eau distillée sont quasiment des solvants qui sont pertinents à utiliser dans certaines situations sur le court terme, comme une période de détox, de nettoyage par exemple. Mais au long cours, c'est une eau qui est trop agressive pour l'organisme si elle ne passe pas derrière la filtration par un processus naturel de reminéralisation.

L’osmose inverse et la distillation sont des processus permettant en effet d’obtenir des eaux extrêmement « pures », très peu minéralisées, voire trop peu minéralisées. En effet, ces eaux, bien que pures, sont instables : d’un point de vue atomique, les électrons de la couche externe ont tendance à migrer vers l'oxygène (O--) délaissant l'hydrogène (H+). Cette "disponibilité" électronique potentielle rend la molécule d'eau (H2O) très affine pour de multiples substances : dans le corps, elle est avide de tout, du bon comme du mauvais, à la recherche de sa stabilité. Ainsi, une eau trop peu minéralisée peut être utilisée à visée de cures de nettoyage pour jouer le rôle ponctue de solvant. Mais elle ne devra pas être consommer de manière exclusive tous les jours, au risque de déminéraliser l’organisme sur le long terme.

L'osmose inverse et la distillation ne sont pas des processus que l'on rencontre dans la nature.

Voici quelques inconvénients de consommer une eau qui n'est plus ou presque plus minéralisée :

  • Absence de minéraux essentiels : Cette eau ne contient pas de minéraux tels que le calcium, le magnésium ou le potassium, qui sont normalement présents dans l'eau potable. Ces minéraux sont essentiels à la santé et au bon fonctionnement du corps. Boire uniquement de l'eau déminéralisée sur le long terme peut priver l'organisme de ces nutriments importants.

  • Effet déséquilibrant sur le corps : L'eau avec trop peu de minéraux a une faible teneur en électrolytes. Lorsque vous la consommez, elle peut diluer les électrolytes dans le corps, tels que le sodium et le potassium, perturbant ainsi l'équilibre électrolytique nécessaire à diverses fonctions corporelles, comme la régulation de l'hydratation et la fonction nerveuse.

  • Action corrosive : L'eau trop peu minéralisée est plus "pure" chimiquement, ce qui la rend plus agressive pour les matériaux avec lesquels elle entre en contact. En raison de l'absence d'ions dissous, elle peut entraîner une dissolution des minéraux dans les tissus corporels et les dents et les os à moyen terme lorsqu'elle est consommée de façon exclusive.

  • Augmentation du risque de déséquilibre osmotique : Boire de l'eau trop peu minéralisée peut également affecter la pression osmotique dans le corps. L'eau déminéralisée peut entraîner une sortie excessive de minéraux des cellules pour rétablir l'équilibre, ce qui pourrait perturber l'homéostasie corporelle et provoquer une déshydratation cellulaire.

  • Goût désagréable : Cette eau a souvent un goût plat ou désagréable, car ce sont généralement les minéraux dissous dans l'eau qui lui donnent un goût agréable. Ce goût peut décourager de boire suffisamment d'eau, ce qui pourrait mener à une déshydratation.

Quelle eau boire ?

Mais alors quelle eau boire ?

On évitera aussi l’eau en bouteille plastique qui n’a que peu de vitalité, et qui est contaminée par de minuscules particules de plastiques (polyéthylène téréphtalate (PET) and polypropylène (PP) notamment)6, aux conséquences néfastes sur notre santé. En effet, une étude américaine a montré que sur 259 bouteilles d’eau plastiques achetées dans 9 pays différents, et de 11 marques différentes, 93% de celles-ci étaient contaminées par des microparticules de plastiques7. Les contaminants sont moins présents dans les bouteilles en verre suggérant qu’une partie provient du packaging et que l’autre provient du processus de mise en bouteille. Il est donc préférable de favoriser des systèmes de filtration à domicile.

Aujourd'hui, après plus de 30 années d'expérience de filtration de l'eau, je recommande toujours, et ce depuis plus de vingt ans, les systèmes de filtration sur matériaux naturels, idéalement par gravité. Nous avons commercialisé un tel filtre japonais pendant des années avant de découvrir l'Ecofiltro, beaucoup plus économique à l'achat.

Comment la filtration de l’eau se passe naturellement dans la nature ?

L’eau sur terre se trouve en constante circulation selon un cycle appelé le cycle de l’eau. L’eau de pluie est une eau que l’on peut qualifier d’eau distillée au moment où elle tombe, puisqu’il s’agit de l’eau de mer et des lacs qui s’évapore sous l’effet de la chaleur du soleil, pour ensuite se condenser dans l’atmosphère où il fait froid et retomber. Lorsque la pluie tombe du ciel et sature le sol, elle s’écoule et ruissèle à travers différentes couches (sable, cailloux, argile, humus, roches diverses, etc.) où se mêlent différents processus de filtration (physiques, chimiques et biologiques). Elle est ainsi filtrée des divers particules d’impuretés de l’atmosphère pour devenir une eau souterraine, une eau naturellement propre. Il est important de préciser que c’est la combinaison de toutes les propriétés du sol qui permet cette filtration.

On peut en effet faire l’expérience « maison » suivante (cela plaira aux enfants !) pour imager le phénomène : prenez trois contenants transparents et 3 entonnoirs (ou trois bouteilles plastiques coupées en deux pour avoir les deux parties précédemment citées). Au fond de chaque entonnoir, déposez un bout de gaze que vous trouvez dans votre boite à pharmacie puis remplissez le premier entonnoir de gravier, le second de sable et le dernier de charbon actif. Préparez une eau « sale » en mélangeant de l’eau, de la terre (1 cuillère à soupe par litre d’eau), quelques petites brindilles d’herbes et des petits gravillons. Vous pouvez y ajouter quelques gouttes de colorant également. Versez la même quantité d’eau « sale » dans les trois entonnoirs, laissez l’eau s’écoule avant d’observer à la lumière le résultat.

On constate que les débris les plus grossiers comme les brindilles et les plus gros cailloux sont bloqués par les trois types de filtres (à gravier, à sable et au charbon actif). Cependant, le filtre à gravier laisse passer la terre et le colorant, le filtre à sable piège en grande partie la terre, et le charbon actif ne piège pas la terre mais élimine une partie du colorant.

Si vous refaites l’expérience en superposant les trois filtres (charbon actif au fond, sable au milieu et gravier au-dessus), on constate que la filtration est bien meilleure car chaque couche va avoir une fonction précise : filtration mécanique pour le gravier et le sable, et filtration chimique par adsorption au travers de la couche de charbon actif.

Dans la nature, à cette double filtration s’ajoute la filtration biologique grâce aux plantes et aux bactéries qui se développent sur et dans les sols. Elles absorbent et transforment une partie de la matière organique et des polluants transportés par l'eau, comme les nitrates, les phosphates, les métaux lourds, etc.

Au travers de ce processus de filtration au sol, l’eau acquiert également une vitalité en se chargeant au contact des minéraux du sol contenus dans les diverses roches (le taux vibratoire sera dépendant de la composition de l’eau en minéraux, de la zone géographique de filtration et du parcours effectué par l’eau dans des mouvements de vortex ou spirales). Ce processus rend les molécules d'eau plus linéaires et structurées de manière à ce qu'elles soient plus facilement absorbables et mieux hydratantes. Ces molécules d’eau vitale vont agir sur les processus d’ionisation du corps : tous les éléments naturels ont une valeur électrique et c’est le cas de nos cellules avec le potentiel transmembranaire. En effet, les cellules sont chargées positivement à l’extérieur et négativement à l’intérieur, ce qui génère un courant permanent qui ne disparaît qu’à la mort de la cellule. Cette distribution d’ions de part et d’autre de la membrane plasmatique cellulaire est possible grâce à l’équilibre osmotique auquel participe les mouvements d’eau entre le milieu intra et extra cellulaire.

Importance de l'accès à l'eau potable chez soi

L'importance de l'accès à l'eau potable à domicile est cruciale pour la santé et l'environnement. Avoir de l'eau répondant aux normes de sécurité chez soi élimine les contaminants tels que les métaux lourds, les pesticides, la majorité des nano plastiques et les bactéries, assurant ainsi une eau saine pour la consommation.

Pour moi l'eau distribuée par nos réseaux est effectivement potable, et nous pouvons nous considérer comme chanceux, tous les pays n'ont pas cette opportunité. M
ais ce n'est plus une eau naturelle de qualité subtile car elle a voyagé dans des conduites à l'aspect peu ragoûtant comme vu plus haut, elle s'est s'est retrouvée sous pression, a été stockée pendant des jours dans des châteaux d'eau surmontée de dizaines d'antennes relais (des études d'impact sortiront certainement dans 10 ou 20 ans, pour nos petits enfants), et n'a à aucun moment été en contact avec des matériaux naturels ou un système de filtration composé par des matériaux 100% naturels.

La publication de l'ouvrage révolutionnaire "Le quatrième état de l'eau" du Dr Gérard Pollack montre à quel point l'eau est une matrice vivante et que lui appliquer des processus de purification physiques et chimiques sans réfléchir à ses qualités subtiles et vibratoires est une véritable impasse scientifique, même si la potabilisation de l'eau est déjà un progrès de santé publique indéniable, convenons en.

Critères de potabilité de l'eau

Voici les critères de potabilité physico chimique de l'eau publique en France, qui permet de classer l'eau comme étant potable :

Critères officiels de potabilité de l'eau du réseau public en France

En France, les critères de potabilité de l'eau du réseau public sont définis par des réglementations strictes qui suivent les directives de l'Union européenne et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces critères sont établis par des normes précises, encadrées par le Code de la santé publique et fixées dans des décrets et arrêtés.

1. Critères microbiologiques

Ils garantissent que l'eau est exempte d'organismes pathogènes. Les seuils sont définis en unités formant colonies (UFC) ou en nombre de cellules par litre.

  • Escherichia coli (E. coli) : 0 UFC/100 mL (absence totale).
  • Entérocoques : 0 UFC/100 mL (absence totale).
  • Clostridium perfringens (incluant les spores) : absence dans 100 mL, uniquement dans certaines situations particulières.
  • Coliformes totaux : tolérance très faible ou nulle selon le contexte.

2. Critères chimiques

Les substances chimiques présentes dans l'eau doivent respecter des seuils pour éviter des risques toxiques. Ces valeurs sont exprimées en milligrammes par litre (mg/L) ou microgrammes par litre (µg/L).

Métaux lourds :

  • Plomb : ≤ 10 µg/L.
  • Arsenic : ≤ 10 µg/L.
  • Mercure : ≤ 1 µg/L.
  • Cadmium : ≤ 5 µg/L.

Nitrates et nitrites :

  • Nitrates (NO₃⁻) : ≤ 50 mg/L.
  • Nitrites (NO₂⁻) : ≤ 0,1 mg/L (dans les eaux traitées).

Pesticides et substances organiques :

  • Pesticides individuels : ≤ 0,1 µg/L par substance.
  • Somme totale des pesticides : ≤ 0,5 µg/L.
  • Hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) : ≤ 0,1 µg/L.
  • Benzène : ≤ 1 µg/L.
  • Chlorures : ≤ 250 mg/L.

Autres composés chimiques :

  • Sulfates : ≤ 250 mg/L.
  • Fluor : ≤ 1,5 mg/L.
  • Cyanures : ≤ 50 µg/L.
  • Ammonium : ≤ 0,5 mg/L.

3. Critères physiques

Ces critères concernent l'apparence et d'autres propriétés physiques de l'eau, afin d'assurer qu'elle est agréable à boire, mais aussi qu'elle n'endommage pas les infrastructures.

  • Turbidité (trouble) : ≤ 4 NFU (Unité Néphélométrique de Formazine).
  • Couleur : aucune couleur notable (doit être limpide).
  • Goût et odeur : aucun goût ou odeur anormal.
  • Température : non spécifiée directement, mais une eau froide est préférable.

4. Critères radiologiques

L'eau ne doit pas contenir de radionucléides en quantité dangereuse pour la santé. Les niveaux sont exprimés en becquerels par litre (Bq/L).

  • Radon : ≤ 100 Bq/L.
  • Tritium : ≤ 100 Bq/L.
  • Dose totale indicative (DTI, résultant de la présence de radioactivité naturelle ou artificielle) : ≤ 0,1 mSv/an (milliSievert par an).

5. Critères de pH

pH : entre 6,5 et 9,5. L'eau ne doit pas être trop acide ni trop alcaline.

6. Concentration en chlorure

Chlorure : ≤ 250 mg/L (principalement pour prévenir la corrosion et améliorer le goût).

7. Dureté de l'eau

Bien que ce ne soit pas un critère de santé, la dureté (quantité de calcium et de magnésium) influence le confort domestique (calcaire). Elle n'est pas strictement régulée, mais en pratique, une dureté de 15 à 25°fH (degrés français) est considérée idéale.

8. Critères de désinfection

L'eau doit être désinfectée pour éliminer les agents pathogènes :

  • Chlore : l'eau peut contenir du chlore résiduel pour garantir la désinfection. Le taux doit être suffisant pour la sécurité mais ne pas dépasser certains seuils, généralement entre 0,1 et 0,5 mg/L.

Normes de surveillance et contrôle

Les services publics de distribution d'eau sont tenus de réaliser des contrôles réguliers pour vérifier que l'eau respecte ces critères. En fonction de la taille de la population desservie et du réseau, des analyses sont effectuées sur des échantillons d'eau brute (avant traitement) et d'eau potable.

Publication des résultats

Les résultats des analyses sont mis à disposition du public et souvent affichés en mairie ou envoyés aux abonnés par les compagnies d'eau.

Présentation de l'Ecofiltro, le filtre à eau low-tech

L'Ecofiltro incarne une innovation remarquable dans le domaine de la filtration d'eau, concrétisant une synergie entre traditions ancestrales et avancées scientifiques et reproduisant le système naturel de filtre à gravité, en offrant une fontaine à eau à l'excellent rapport qualité/prix. Créé au Guatemala, l'Ecofiltro se distingue non seulement par son efficacité à purifier l'eau, mais également par son engagement pour le développement durable. Le noyau de cette unité de filtration unique réside dans son système hybride alliant argile et charbon actif + argent colloïdal, une combinaison puissante qui éradique jusqu'à 99,9% des contaminants, tout en préservant les minéraux essentiels pour la santé.

À l'avant-garde de la technologie, ce filtre à eau écologique conçu à base d'argile opère sans recours à l'électricité ou des hautes pressions, ce qui en fait un choix idéal à la maison ou en déplacement (aucun branchement de réseau d'eau ou électrique). Sa cartouches filtrantes, mais on parle davantage de poterie filtrante, est conçues uniquement à partir de matériaux naturels et biodégradables, attestant d'un engagement envers l'écoresponsabilité.

Avec une capacité de 5 litres ou 20 litres et une durée de vie estimée à 2 ans pour son unité filtrante, l'Ecofiltro représente une alternative économique substantielle. Son coût d'environ 136 euros tranche avantageusement sur les prix souvent élevés des systèmes de filtration concurrents, rendant ainsi l'accès à l'eau potable de qualité plus abordable.

Son design, conjuguant praticité et esthétique, permet une intégration harmonieuse dans tout type de cuisine. Ce compromis esthétique n'éclipse en rien sa fonctionnalité, faisant de l'Ecofiltro un élément à la fois utile et décoratif.

Au delà de la santé, l'Ecofiltro réduit aussi l'impact écologique en diminuant la demande d'eau en bouteille, réduisant par là les déchets plastiques.

En cas de problème avec l'approvisionnement en eau municipal, les systèmes de traitement d'eau à domicile garantissent une source alternative fiable, telle que l'eau de pluie ou de rivière. Cela assure une continuité d'approvisionnement sans rupture.

L'Ecofiltro est une donc solution de filtration d'eau avancée qui combine élégamment la simplicité et l'efficacité. Sa capacité de stockage totale s'élève à 5 ou 20 litres litres. Le récipient de collection peut contenir jusqu'à 6,5 litres d'eau purifiée au total pour le modèle 5 litres.

Ce produit est particulièrement adapté pour une famille moyenne, avec une durée de filtration de 500 ml par heure, rendant ainsi recommandé son usage pour jusqu'à trois personnes. Un avantage notable de l'Ecofiltro est sa conception qui fait que l'eau n'est en contact que de matériaux naturels.

Les adultes et les enfants peuvent facilement récupérer l'eau filtrée grâce au robinet en acier inoxydable inclus.

Filtration à base de charbon actif

Au cœur de nombreuses solutions de filtration, le rôle du charbon actif est essentiel. En utilisant le phénomène d'adsorption, les molécules des contaminants sont attirées et piégées par la surface poreuse du charbon actif (9). Cette technique permet l'élimination efficace de divers contaminants, y compris les bactéries, le chlore et les particules de plomb.

La masse filtrante prise entre les deux couches d'argile du filtre à charbon actif exploite des aspérités fines qui favorisent un niveau de filtration optimal. Le charbon actif peut éliminer pratiquement tout le chlore et jusqu'à 95% du plomb contenus dans l'eau (deux molécules souvent trouvées), contribuant à une qualité d'eau propre pour consommation.

Avec une prise de position majeure sur le marché mondial, les filtres à charbon actif constituent environ 20% du marché de la purification de l'eau, témoignant de leur efficacité et leur importance dans un contexte de plus en plus conscient des enjeux de l'eau potable.

Avec sa capacité à transformer le filtre usagé en pot de plante après deux ans d'utilisation, l'Ecofiltro témoigne de son engagement en faveur d'un développement durable. Employé par plus de 700 000 familles à travers le monde, ce système a prouvé son efficacité et sa fiabilité.

Références scientifiques :

  1. Baker, R.W., "Membrane Technology and Applications", 3rd ed., John Wiley & Sons, Ltd, 2012.
  2. Binnie, C., Kimber, M., & Smethurst, G., "Basic Water Treatment", 5th ed., Royal Society of Chemistry, 2009.
  3. Johnson, S.P., et al., "Biodegradable Materials for Sustainable Water Treatment", Water Research, Vol. 45, Iss. 11, 2011.
  4. Department of Economics and Social Affairs, United Nations., "The Human Right to Water and Sanitation", Media Brief, 2010.
  5. Fang, L., Kim, J.H., Choi, H.J., & Su, C., "Removal of Microbial Contaminants from Water Using Carbon Nanotube-Based Filters", The Royal Society of Chemistry, 2008.
  6. Li, L.., Quinlivan, P.A., & Knappe, D.R.U., "Effects of Activated Carbon Surface Chemistry and Pore Structure on the Adsorption of Organic Contaminants from Aqueous Solution", Carbon, vol. 40, no. 12, 2002.
  7. Centers for Disease Control and Prevention., "Household Water Treatment and Safe Storage", 2008.
  8. Daugherty, K.E., "Household Water Treatment Systems: A Solution to the Production of Safe Drinking Water by the Low-Income Communities of Southern Thailand", ProQuest, 2008.
  9. Dąbrowski, A., "Adsorption — from theory to practice", Advances in Colloid and Interface Science, Vol. 93, Iss. 1-3, 2001.
  10. Rivera-Utrilla, J., Sánchez-Polo, M., Gómez-Serrano, V., Álvarez, P.M., Alvim-Ferraz, M.C., & Dias, J.M., "Activated Carbon Modifications to Enhance Its Water Treatment Applications. An Overview", Journal of Hazardous Materials, vol. 187, no. 1-3, 2011.
  11. West, loR., “Performance of granular activated carbon filters in drinking water treatment,” Bulletin of the World Health Organization, vol. 54, no. 3, 1976.
  12. Rodriguez-Reinoso, F., "The role of carbon materials in heterogeneous catalysis", Carbon, vol. 36, no. 3, 1998

Amélioration de la qualité de l'eau avec l'argent colloïdal

L'Ecofiltro offre une amélioration tangible de la qualité de l'eau. Grâce à sa technologie combinant le charbon actif, l'argile et l'argent colloïdal, ce filtre élimine les bactéries, les virus et les polluants physico-chimiques tout en respectant l'environnement. La couche d'argent joue un rôle clé comme agent antimicrobien, garantissant que l'eau traitée par l'Ecofiltro répond aux normes de qualité les plus strictes. Les ions argent sont très connus pour ces propriétés spécifiques.

Alternative durable aux bouteilles en plastique

L'Ecofiltro est une réponse écologique au problème des déchets plastiques, spécialement ceux associés à l'eau en bouteille. Le filtre élimine non seulement la présence des contaminants variés tels que les bactéries et les microplastiques mais aussi diminue la consommation de bouteilles en plastique. De plus, la poterie filtrante d'une durée de vie de deux, peut être upcyclée en pot à plantes ou à fleurs une vois utilisé. Avec un coût initial attractif, notamment en comparaison avec d'autres systèmes sur le marché, l'Ecofiltro offre une solution de filtration compétitive et esthétiquement agréable

alternative aux bouteilles

Économie financière sur le long terme

En termes d'économies financières, l'Ecofiltro se révèle être une option stratégique sur le long terme. Puisque le prix de l'eau en bouteille peut être entre 100 et 200 fois plus cher que l'eau du robinet, l'utilisation de l'Ecofiltro permet de réaliser d'importantes économies. Contrairement aux systèmes de filtration qui requièrent des remplacements coûteux de cartouches filtrantes tous les 6 mois à un an, l'Ecofiltro ne demande un investissement initial que tous les deux ans.

Tableau comparatif | Bouteilles en plastique vs Ecofiltro:

Aspect

Bouteilles en plastique

Ecofiltro

Matériau

Plastique

Argile, charbon actif

Durabilité

Jetable

Réutilisable

Dépendance énergie

Aucune

Aucune

Coût

Récurrent

Initial (≈136€/5L)

Impact environnemental

Élevé

Faible

Enjeux de la privatisation de l'eau

Implications sociales et économiques

Dans un tel contexte, Ecofiltro se positionne en acteur socialement responsable. Fondé initialement en tant qu'organisation à but non lucratif et migré vers un modèle d'entreprise sociale en 2009, Ecofiltro s'engage dans la voie d'une économie sociale et solidaire. Les recettes réalisées par la vente de ses filtres dans les pays plus riches servent à subventionner la distribution de ses unités de filtration dans les régions où l'accès à l'eau potable est précaire. Leur modèle de purification d'eau, conçu par Fernando Mazariegos, repose sur l'utilisation de matériaux naturels simple d'accès, favorisant une approche à la fois économique et respectueuse de l'environnement. En tant qu'entreprise certifiée B Corp, Ecofiltro affiche un engagement fort pour la réduction de l'empreinte carbone et contre la pollution plastique, intégrant des objectifs environnementaux et sociaux à sa stratégie commerciale.

Impact sur l'accès à l'eau potable

Ecofiltro redéfinit l'accès à l'eau potable, en permettant à des millions de personnes, particulièrement au Guatemala, de se détourner de l'usage des bouteilles en plastique grâce à son filtre à eau innovant. Il évite ainsi le décès d'un grand nombres d'enfants qui meurent encore aujourd'hui au Guatemala à cause d'une eau non potable.

Conséquences de l'utilisation d'eaux en bouteille

L'eau embouteillée, souvent perçue comme une alternative saine et pratique, cache des conséquences préoccupantes touchant autant la santé publique que l'environnement. En effet, une étude a révélé que près de 30% des marques d'eau en bouteille seraient sujettes à des traitements de purification non conformes, faisant peser sur les consommateurs un risque sanitaire non négligeable. Par exemple, des résidus de chlorothalonil, pesticide interdit depuis 2020 en raison de ses effets néfastes, ont été détectés dans l'eau d'Evian, jetant le doute sur la qualité réelle de l'eau embouteillée (Santé Publique France, 2021 ; NRDC, 2020).

La situation est aggravée par la pollution plastique, car les bouteilles d'eau sont des contributeurs majeurs aux déchets trouvés sur les plages et autres écosystèmes. Plus de 10% des déchets collectés lors de nettoyages des littoraux sont constitués de bouteilles et bouchons en plastique (Ocean Conservancy, 2020). Les ressources nécessaires à la production d'une bouteille d'un litre sont colossales, incluant environ 100 ml de pétrole et 42 litres de gaz, ce qui entraine un impact carbone conséquent (Ellen MacArthur Foundation, 2019).

Ajouté à cela, le coût économique pour le consommateur est loin d'être négligeable. L'eau en bouteille peut être jusqu'à 200 fois plus coûteuse que l'eau du robinet, ce qui représente un fardeau financier important pour de nombreux ménages (Food & Water Watch, 2020).

Pollution plastique

La pollution plastique constitue une crise environnementale majeure, responsable de la dégradation des écosystèmes marins et terrestres. On estime que 93% des échantillons d'eau analysés contiennent des microparticules de plastique, avec des concentrations souvent plus élevées dans les eaux en bouteille due à la migration des matériaux plastiques (WHO, 2019). En France, le chiffre est alarmant : entre 6 et 8 milliards de bouteilles en plastique sont vendues annuellement, ce qui représente environ 140 000 tonnes de plastique (ADEME, 2019).

Cette problématique se constate à l'échelle planétaire, avec une vente d'un million de bouteilles en plastique par seconde, contribuant ainsi à une pollution plastique mondiale (National Geographic, 2020). La conséquence directe pour le consommateur ? Un apport involontaire de 5 grammes de plastiques par semaine, l’équivalent du poids d'une carte de crédit, par le biais de la consommation d'eau, de bière, de fruits de mer et de sel (WWF International, 2019).

Coût environnemental

En contraste avec l'eau en bouteille, l'Ecofiltro représente une solution durable et respectueuse de l'environnement pour la filtration de l'eau. Ecofiltro atténue l'impact environnemental lié à la consommation d'énergie. Les cartouches filtrantes, conçues à partir de matériaux naturels et biodégradables, s'imposent comme une alternative écologique aux filtres et contenants plastiques courants. Avec une durée de vie de deux ans, l'Ecofiltro se distingue avantageusement des systèmes de filtration concurrents qui nécessitent des remplacements fréquents, réduisant ainsi le volume de déchets générés 

Déconstruire les idées reçues sur l'eau potable

L'un des plus grands malentendus concernant l'eau du robinet réside dans la croyance que celle-ci est sans danger simplement parce qu'elle est déclarée potable par les autorités sanitaires. Toutefois, l'eau du robinet est susceptible de contenir des traces de contaminants tels que le chlore, les pesticides et les métaux lourds. Ces substances cancérogènes et perturbateurs endocriniens, même à faible concentration, peuvent s'accumuler dans l'organisme et présenter des risques pour la santé (Sapkota et al., 2008; WHO, 2011). En ce qui concerne l'eau en bouteille, des études révèlent la présence de particules de plastique et le risque potentiel lié aux plastifiants, remettant en question la sûreté de sa consommation (Mason et al., 2018).

Mythes courants

De nombreux mythes entourent la filtration de l'eau, le premier étant l'efficacité des filtres bon marché. Des études montrent que certains filtres achetés en ligne sont peu fiables et ne filtrent pas correctement les contaminants (UFC Que Choisir, 2020). Malgré leur popularité, les carafes filtrantes "de base" disponibles en supermarché, ont été critiquées pour leur capacité de filtration limitée. En outre, les filtres à osmose inverse et les distillateurs peuvent produire une eau démunie de minéraux, nécessitant une étape de reminéralisation qui est souvent négligée.

Un autre mythe concerne la sécurité absolue de l'eau en bouteille. Cependant, des recherches indiquent que l'eau en bouteille n'échappe pas à la contamination et peut contenir des microplastiques (Mason et al., 2018; Schymanski et al., 2018).

La très récente émission d'envoyé spécial "L'eau minérale en eaux troubles" a largement relevé ces problématiques.

L'eau minérale en eaux troubles

En revanche, les filtres par gravité comme l'Ecofiltro, qui utilisent des matériaux naturels, sont reconnus pour leur capacité à éliminer une grande partie des contaminants tout en étant une solution sans plastique et durable (Clasen et al., 2006).

Références Scientifiques:

  • Sapkota, A., et al. (2008). What do we feed to food-production animals? A review of animal feed ingredients and their potential impacts on human health. Environmental Health Perspectives.
  • World Health Organization (WHO). (2011). Guidelines for Drinking-water Quality.
  • Mason, S. A., et al. (2018). Synthetic polymer contamination in bottled water. Frontiers in Chemistry.
  • Kozisek, F. (2005). Health risks from drinking demineralised water. World Health Organization.
  • UFC Que Choisir. (2020). Carafes filtrantes: pour une eau plus pure ?
  • Schymanski, D., et al. (2018). Analysis of microplastics in water by micro-Raman spectroscopy: Release of plastic particles from different packaging into mineral water. Water Research.
  • Clasen, T., et al. (2006). Reducing diarrhea through the use of household-based ceramic water filters: A randomized, controlled trial in rural Bolivia. American Journal of Tropical Medicine and Hygiene.
  • Richardson, S. D., et al. (2007). Occurrence, Genotoxicity, and Carcinogenicity of Regulated and Emerging Disinfection by-products in drinking water : A review and roadmap for research. Mutation Research/Reviews in Mutation Research.

FAQ sur la filtration de l'eau

Q : Qu'est-ce que la filtration de l'eau et pourquoi est-elle importante ?

R : La filtration de l'eau consiste à retirer les contaminants et les impuretés de l'eau pour la rendre propre à la consommation. Cela est essentiel pour assurer la santé des consommateurs, car l'eau peut contenir des substances nocives comme des bactéries, des produits chimiques et des particules indésirables.

Q : Comment connaître la pollution de l'eau de ma commune ?

R : Pour connaître la qualité de l'eau dans votre commune, vous pouvez consulter le rapport annuel sur la qualité de l'eau fourni par votre municipalité. Ce rapport contient des informations sur les niveaux de polluants et les résultats des analyses effectuées. Vous pouvez également vérifier des sites internet dédiés à la qualité de l'eau ou contacter votre distributeur d'eau local.

Q : Quels sont les différents systèmes de filtration d'eau disponibles ?

R : Il existe plusieurs systèmes de filtration d'eau, notamment les filtres à charbon actif des carafes filtrantes (souvent remis en question sur leur efficacité dans la durée par les associations de consommateurs), les filtres sous évier, les filtres à gravité et les osmoseurs. Chaque système a ses avantages et inconvénients en termes de coût, d'efficacité et de maintenance. Pour une filtration au meilleur rapport qualité prix avec des matériaux naturels uniquement, un système à gravité à charbon actif + ions argent comme l'Ecofiltro de Biovie suffira amplement.

Q : Les perles céramiques sont-elles efficaces pour filtrer l'eau ?

R : Les perles céramiques sont souvent présentées comme un moyen extrêmement bon marché d'améliorer la qualité de l'eau, mais leur efficacité ne repose sur aucune étude scientifique éprouvée, contrairement à d'autres systèmes économiques comme les filtres à charbon actif (comme l'Ecofiltro de Biovie). Concernant les perles céramique, bien qu'il existe des témoignages d'utilisateurs, il est important de consulter des études scientifiques réelles avant tout achat.

Q : Quelle est la différence entre un filtre à gravité et un osmoseur ?

R : Un filtre à gravité utilise la force de la gravité pour faire passer l'eau à travers une matière filtrante (comme le charbon actif imprégné d'argent actif pour l'Ecofiltro de Biovie) , tandis qu'un osmoseur utilise une membrane semi-perméable pour éliminer les contaminants. Les osmoseurs offrent généralement une filtration intégrale où on a plus que H2O à la sortie, mais ils sont bien plus coûteux et nécessitent une maintenance régulière et l'eau osmosée ou distillée ne contient plus ni minéraux ni oligo éléments.

Q : Quel système de filtration est le plus adapté pour une utilisation domestique ?

R : Le choix dépend de vos besoins spécifiques. Pour une filtration au meilleur rapport qualité prix avec des matériaux naturels uniquement, un système à gravité comme l'Ecofiltro de Biovie suffira amplement. Pour une filtration plus pointue, un osmoseur installé sous évier pourrait être plus adapté, bien que son coût et son besoin en maintenance soient à considérer, ainsi que le fait que l'eau osmosée ou distillée ne contienne plus ni minéraux ni oligo éléments.

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