Notre corps est constitué d’environ 60% d’eau (plus ou moins en fonction de l’âge et de la charge musculaire et graisseuse). Toutes nos cellules baignent dans un milieu chargé en eau (appelé liquide extracellulaire), et leur intérieur est lui-même composé d’eau (appelé liquide intracellulaire). Il est donc indispensable de boire une eau de qualité et en quantité suffisante pour le bon fonctionnement de notre organisme. En effet, la déshydratation cellulaire et tissulaire contribue à l’encrassement et à l’acidification de l’organisme, terrain propice à l’inflammation et au développement des maladies. L’eau est en effet essentielle aux émonctoires1 principaux que sont les intestins et les reins dans leur processus d’élimination.
Quid de l’eau dite « potable » ?
La potabilité d’une eau est aujourd’hui basée sur plusieurs critères que sont les paramètres physico-chimiques (pH, température, composition ionique, présence d’éléments indésirables comme les pesticides, etc.), organoleptiques (goût, odeur, couleur) et microbiologique (agents pathogènes divers). Une eau potable est définie comme « une eau que l’on peut boire ou utiliser à des fins domestiques et industrielles sans risque pour la santé ». Cela ne signifie pas pour autant qu’une eau sans risque pour la santé est bonne pour la santé. Cette définition devrait introduire le concept du « primum non nocere », c’est-à-dire de ne pas nuire à la santé, concept cher à Hippocrate, père de la médecine naturelle, non-intrusive. Ainsi les critères de potabilité précédemment énoncés ne tiennent pas compte des micropolluants (résidus médicamenteux et hormonaux), des synergies entre certains polluants qui produisent des « effets cocktails » (chlore, nitrates, pesticides, etc.), de la bioaccumulation dans l’organisme de substances présentent à faibles doses dans l’eau comme les perturbateurs endocriniens.
Il est donc recommandé d’éviter de boire l’eau du robinet, et de privilégier la consommation d’une eau de qualité, « biocompatible » selon la bioélectronique de Vincent2 :
pure (sans bactérie),
pH légèrement acide (entre 6 et 7),
non oxydée ni oxydante (rH23 inférieur à 28),
la moins minéralisée possible (résidus à secs inférieurs à 120 mg/L) pour ne pas encombrer l’organisme de minéraux non assimilables.
Le chlore, très utilisée pour détruire les bactéries dans l’eau du robinet, est un oxydant très puissant (rH2 proche de 42). Rappelons ici que l’être humain est d’avantage un être bactérien que cellulaire … cela pose question donc de consommer de l’eau chlorée ! Par ailleurs, le chlore peut se combiner à d’autres composés présents dans l’eau et créer des sous-produits comme la chloramine et des trihalométhanes, dont certains sont classés « cancérogènes possibles » (groupe 2B) par le International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Plusieurs études suggèrent en effet un lien entre certains trihalométhanes et divers cancers, dont le cancer du côlon4, et du pancréas5.
Mais alors quelle eau boire ?
On évitera l’eau en bouteille plastique qui n’a que peu de vitalité, et qui est contaminée par de minuscules particules de plastiques (polyéthylène téréphtalate (PET) and polypropylène (PP) notamment)6, aux conséquences néfastes sur notre santé. En effet, une étude américaine a montré que sur 259 bouteilles d’eau plastiques achetées dans 9 pays différents, et de 11 marques différentes, 93% de celles-ci étaient contaminées par des microparticules de plastiques7. Les contaminants sont moins présents dans les bouteilles en verre suggérant qu’une partie provient du packaging et que l’autre provient du processus de mise en bouteille. Il est donc préférable de favoriser des systèmes de filtration chez soi.
Plusieurs systèmes existent : la filtration au travers de différentes couches de roches (comme c’est le cas dans la nature), la filtration par gravité au travers de filtres à charbon et de filtres polypropylène contre les métaux lourds, l’osmose inverse, et la distillation entre autres.
Comment faire le tri parmi ces systèmes ? On évitera de choisir un système avec des filtres contenant du polypropylène étant donné les études scientifiques précédemment citées sur l’eau des bouteilles en plastiques. L’osmose inverse et la distillation sont des processus permettant d’obtenir des eaux « pures », très peu minéralisées, voire trop peu minéralisées. En effet, ces eaux, bien que pures, sont instables : d’un point de vue atomique, les électrons de la couche externe ont tendance à migrer vers l'oxygène (O--) délaissant l'hydrogène (H+). Cette "disponibilité" électronique potentielle rend la molécule d'eau (H2O) très affine pour de multiples substances : dans le corps, elle est avide de tout, du bon comme du mauvais, à la recherche de sa stabilité. Ainsi, une eau trop peu minéralisée peut être utilisée à viser de cures de nettoyage pour jouer le rôle de solvant. Mais elle ne devra pas être consommer de manière exclusive tous les jours, au risque de déminéraliser l’organisme sur le long terme.
Comment la filtration de l’eau se passe naturellement dans la nature ?
L’eau sur terre se trouve en constante circulation selon un cycle appelé le cycle de l’eau. L’eau de pluie est une eau que l’on peut qualifier d’eau distillée, puisqu’il s’agit de l’eau de mer et des lacs qui s’évapore sous l’effet de la chaleur du soleil, pour ensuite se condenser dans l’atmosphère où il fait froid et retomber. Lorsque la pluie tombe du ciel et sature le sol, elle s’écoule et ruissèle à travers différentes couches (sable, cailloux, argile, humus, roches diverses, etc.) où se mêlent différents processus de filtration (physiques, chimiques et biologiques). Elle est ainsi filtrée des divers particules d’impuretés de l’atmosphère pour devenir une eau souterraine, une eau naturellement propre. Il est important de préciser que c’est la combinaison de toutes les propriétés du sol qui permet cette filtration. On peut en effet faire l’expérience « maison » suivante (cela plaira aux enfants !) pour imager le phénomène : prenez trois contenants transparents et 3 entonnoirs (ou trois bouteilles plastiques coupées en deux pour avoir les deux parties précédemment citées). Au fond de chaque entonnoir, déposez un bout de gaze que vous trouvez dans votre boite à pharmacie puis remplissez le premier entonnoir de gravier, le second de sable et le dernier de charbon actif. Préparez une eau « sale » en mélangeant de l’eau, de la terre (1 càS par litre d’eau), quelques petites brindilles d’herbes et des petits gravillons. Vous pouvez y ajouter quelques gouttes de colorant également. Versez la même quantité d’eau « sale » dans les trois entonnoirs, laissez l’eau s’écoule avant d’observer à la lumière le résultat. On constate que les débris les plus grossiers comme les brindilles et les plus gros cailloux sont bloqués par les trois types de filtres (à gravier, à sable et au charbon actif). Cependant, le filtre à gravier laisse passer la terre et le colorant, le filtre à sable piège en grande partie la terre, et le charbon actif ne piège pas la terre mais élimine une partie du colorant. Si vous refaites l’expérience en superposant les trois filtres (charbon actif au fond, sable au milieu et gravier au-dessus), on constate que la filtration est bien meilleure car chaque couche va avoir une fonction précise : filtration mécanique pour le gravier et le sable, et filtration chimique par adsorption au travers de la couche de charbon actif. Dans la nature, à cette double filtration s’ajoute la filtration biologique grâce aux plantes et aux bactéries qui se développent sur et dans les sols. Elles absorbent et transforment une partie de la matière organique et des polluants transportés par l'eau, comme les nitrates, les phosphates, les métaux lourds, etc.
Au travers de ce processus de filtration au sol, l’eau acquiert également une vitalité en se chargeant au contact des minéraux du sol contenus dans les diverses roches (le taux vibratoire sera dépendant de la composition de l’eau en minéraux, de la zone géographique de filtration et du parcours effectué par l’eau dans des mouvements de vortex ou spirales). Ce processus rend les molécules d'eau plus linéaires et structurées de manière à ce qu'elles soient plus facilement absorbables et mieux hydratantes. Ces molécules d’eau vitale vont agir sur les processus d’ionisation du corps : tous les éléments naturels ont une valeur électrique et c’est le cas de nos cellules avec le potentiel transmembranaire. En effet, les cellules sont chargées positivement à l’extérieur et négativement à l’intérieur, ce qui génère un courant permanent qui ne disparaît qu’à la mort de la cellule. Cette distribution d’ions de part et d’autre de la membrane plasmatique cellulaire est possible grâce à l’équilibre osmotique auquel participe les mouvements d’eau entre le milieu intra et extra cellulaire.
Qu’est-ce qu’un ion ?
Un ion est un atome, ou une molécule, qui a gagné ou perdu un ou plusieurs électrons. La charge globale de l’atome est nulle, les charges positives des protons s’équilibrant avec celles négatives des électrons. Un ion négatif provient d'un atome qui a gagné un ou plusieurs électrons. La molécule d'oxygène O2, qui constitue 21% de l'air que nous respirons (le reste étant environ 78 % de diazote et 1 % d'autres gaz comme la vapeur d'eau, l'ozone, le méthane ou encore le dioxyde de carbone), est une molécule électrophile qui acquiert facilement un électron supplémentaire, pour former l'ion O2-. L'air est naturellement ionisé, avec un équilibre entre ions positifs et négatifs dans les espaces naturels. Dans certains espaces naturels, on peut trouver de grandes quantités d'ions négatifs : au pied des cascades, l'éclatement des gouttelettes d'eau libère des électrons (phénomène physique appelé effet Lenard) qui ionisent l'oxygène (ion O2- décrit ci-dessus). D'autres phénomènes naturels favorisent la création d'ions négatifs comme les averses ou les orages (la combinaison de facteurs influencent la densité et la polarité des ions, ce qui a très bien été étudié notamment par Norinder et Siksna dans les années 1950 et 1951). On peut ainsi trouver de grandes quantités d'ions négatifs en montagne, en bord de mer, en forêt, au soleil, etc.
Clarence Weston Hansell (1898 - 1967), un ingénieur de recherche américain, est probablement le premier à s’être intéressé aux effets biologiques de l'air ionique (ions négatifs et positifs) dans les années 1930. Il a obtenu plus de 300 brevets américains sur divers sujets. C’est lors de ses recherches sur l’air ionisé qu’il remarqua que l'humeur de l'un de ses collègues changeait en réponse aux ions générés par leur équipement. Il a découvert que son collègue était joviale lorsque la machine produisait des ions négatifs et morose lorsqu'elle produisait des ions positifs. Ses travaux précurseurs ont depuis été validés par des études plus récentes : les ions négatifs seraient bénéfiques pour lutter contre la dépression8,9 (saisonnière et non saisonnière) en influençant la sécrétion de sérotonine, comme le font les médicaments chimiques antidépresseurs.
Les russes utilisent les bienfaits des ions négatifs dans leur médecine depuis longtemps et ont remarqué des effets considérables sur les infections pulmonaires (bronchite, asthme notamment), sur la pression artérielle, sur la cicatrisation, sur le métabolisme corporel au global, sur la température corporelle, sur l’oxygénation du sang et des tissus, sur les inflammations, etc. Les sensation les plus courantes rapportées dans les expériences faites avec les ions positifs dans l'air sont la sécheresse et l'irritation du nez, et les maux de tête, contre la relaxation, et un effet de refroidissement général face aux ions négatifs10.
Selon Pierce J.Howard, PhD et directeur de recherche au Center for Applied Cognitive Sciences à Charlotte en Caroline du Nord aux Etats-Unis, « d'une manière générale, les ions négatifs augmentent le flux d'oxygène vers le cerveau; résultant en une plus grande vigilance, une diminution de la somnolence et plus d'énergie mentale.
On comprend ainsi mieux l’impact des ions positifs ou négatifs extérieurs, ainsi que le rôle de l’eau, sur nos fonctions métaboliques !
Ainsi, le filtre NATURALIZER semble être le meilleur choix !
Il s’agit d’une filtre écologique contenant uniquement des constituants naturels mimant la filtration de l’eau dans le sol volcanique de l’archipel du Japon : une véritable eau de source volcanique – eau chargée négativement - à boire de chez vous tous les jours. Le premier modèle a été développé en 1980 et actualisé en 2014 pour augmenter la capacité de filtration : 200 000 litres, avec un débit de 5 litres par minute.
Le filtre Naturalizer est composé de six matériaux naturels différents disposés en neuf couches successives permettant de délivrer une eau pure de montagne de haute vibration. Le système permet de filtrer les résidus chlorés présents dans l’eau du robinet. En effet, la meilleure eau sur terre provient de grandes profondeurs de sources sauvages naturelles à écoulement libre. Cette eau est lavée par les roches dans une action de nettoyage naturelle avant de jaillir joyeusement à la surface de la terre, prête à être consommée.
Il a fait l'objet d'études scientifiques et médicales au Japon puis aux Etats Unis.
Au Japon, le ministère de la Santé japonais en est venu à la conclusion que la consommation régulière d'eau filtrée par le filtre Naturalizer réduisait les effets nocifs possibles de l'eau du robinet et procurait une eau dont les propriétés sont bénéfiques pour la santé tant en usage interne qu'externe. Il est aujourd’hui installé dans plus d'une trentaine d'hôpitaux et de cliniques au Japon dans sa version "collectivités" de grande capacité et est même remboursé par certaines compagnies d'assurance santé japonaises lorsqu'il est prescrit par un médecin.
Aux Etats-Unis, le centre de santé Hippocrates (Hippocrates Health Institute) l’a adopté depuis 2001 et en a constaté les bienfaits sur ses patients, notamment sur la qualité du sang (suivie par le dosage régulier de la numération formule sanguine qui a montré une augmentation du nombre de globules rouges et une légère augmentation des taux d'hémoglobine) grâce à un fort pouvoir antioxydant. Le centre insiste sur l’importance de la qualité de l’eau contribuant notamment à l'absorption des nutriments au niveau de nos cellules.
Ce filtre, outre ses atouts constitutifs et son ancienneté reste aussi une option écologique très pratique au quotidien, car la filtration se fait en direct, simplement en actionnant la petite manette sur la tête de robinet. Aucun stockage, pas de limite de production journalière, pas de cartouches à changer, une eau fraîche, vivante et vitalisée directement au robinet, disponible pour toute la famille.
1Emonctoire : désigne un organe ou une partie d'organe qui permet à l'organisme d'éliminer ses déchets.
2La bioélectronique de Vincent (BEV) a été créé par Louis-Claude Vincent en 1948 en France afin de mesurer objectivement la qualité des produits aqueux et des liquides physiologiques du corps humains (sang, salive, urine). « Biocompatible » signifie compatible avec la vie, afin de remplir son rôle vital en permettant aux fonctions physiologiques de se réaliser.
3Le rH2 rend compte du pouvoir oxydant ou réducteur, d’une solution. On parle de potentiel en dihydrogène. L’échelle des rH2 s’étend de 0 à 42 : de 0 à 14, le milieu est très antioxydant ; de 14 à 28, le milieu est antioxydant ; de 28 à 42, le milieu est oxydant. On souhaite donc avoir un rH2 toujours inférieur à 28.
4« Blood trihalomethane levels and the risk of total cancer mortality in US adults. » Min JY, Min KB. Environmental Pollution. 2016 May;212:90-96.
5« Cancer incidence and trihalomethane concentrations in a public drinking water system. » Carlo GL, Mettlin CJ. American Journal of Public Health. 1980 May;70(5):523-5.
6« Microplastic contamination of drinking water: A systematic review » Evangelos Danopoulos & al. PLoS One. 2020 Jul 31;15(7):e0236838.
7« Synthetic Polymer Contamination in Bottled Water », Sherri A Mason & al. Frontiers in Chemistry. 2018 Sep 11;6:407.
8« A Controlled Trial of Timed Bright Light and Negative Air Ionization for Treatment of Winter Depression », Michael Terman, Jiuan Su Terman, Donald C. Ross. Archives Of General Psychiatry. 1998;55(10):875-882.
9« Controlled trial of bright light and negative air ions for chronic depression », Namni Goel & al. Psychological Medicine, 2005 Jul;35(7):945-55.
10« Air ions and respiratory function outcomes: a comprehensive review », Dominik D Alexander & al. Journal of Negative Results in Biomedicine, 2013 Sep 9;12:14.